Domaine de la famille D'Eirbal
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L'histoire de la campagne d'Anjou

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L'histoire de la campagne d'Anjou Empty L'histoire de la campagne d'Anjou

Message par lothilde Dim 11 Juil - 19:09

Voilà...je viens mettre ici l'histoire que j'avais commencé à écrire pour le scriptorium à Dole. Parce que ce scriptorium a servi à prendre des informations contre tous ceux qui ont participé, et compléter des listes d'ennemis [hélas, on en est là dans le jeu....autant donner un peu de travail aux mélangistes...]

Pour l'honneur...Un retour en arrière

Le 12 février 1458, le parlement comtois nouvellement élu désignait Artifice au poste de Franc-comte. 8 jours plus tard, le château de Dole est entièrement pillé, en une nuit, par une bande de marauds dont certains étaient depuis quelques temps déjà en observation dans la ville.
Aussitôt leur larcin perpétré, ces bandits de grands chemins se sont évanouis dans la campagne pour rejoindre la Bourgogne toute proche et échapper à la justice comtoise.

Conseillers éphémères, ils ont inscrit durablement leurs noms dans les mémoires, mais il n'est pas inutile de les rappeler :
Kilia, Calyce, Leandre, Conte_de_balmora, Baron_arwin, Saltarius, Aurelien, Soeli, Horkos, Elven, Hanadora, Eubies

Larmes, gémissements, grincements de dents, colère, tout le répertoire de la grande tragédie grecque est de mise. On jure, solennellement, que l'affront ne restera pas impuni. Et pourtant, le temps passe..Des serments il ne reste bientôt plus que des souhaits, des "on devrait", des "on pourrait", des "il faudrait s'organiser"...camouflage d'un manque évident de courage devant l'ampleur de la tâche...Alors on s'est retranché derrière l'argument massue : le comté n'a pas d'argent pour financer une campagne.
Le bon peuple n'a pas été consulté. Aucun conseiller n'a pris la peine d'aller à sa rencontre. Il aurait compris, ce parlement, que le peuple sait offrir son courage et sa bravoure...Il l'a prouvé...quand on lui a demandé !

Et le temps a passé, encore...Yde a remplacé Artifice à la tête du parlement.Et à la tête du conseil d'Anjou...Un certain Aurélien était élu, arborant un titre de noblesse comtoise usurpé..On s'en est beaucoup offusqué, assez pour voir refleurir les "on devrait", les "on pourrait", les "il faudrait s'organiser" les "on n'a pas les écus"...Mais on les a tout de même trouvés, ces écus qu'on n'avait pas, pour sauver Bobyzz de Sparte d'avoir à débourser 250 miches de pain que lui réclamait Grandson...

Alors des "on devrait" on a voulu faire des "on va"...des "on pourrait" on a voulu faire des "on peut", et des "il faudrait s'organiser" on a fait "on s'organise et on part"...
Vaincre la résistance des parlementaires était l'écueil le plus infranchissable...Il était plus facile de s'en séparer. Nous avions l'assurance que le comte Debenja, farouchement décidé à venger l'affront fait par Aurélien, donnerait sa bénédiction. Il ne restait plus qu'à en faire le Régent de Franche-Comté.

Le 19 mai, sans combat, sans sortir les armes contrairement à tout ce qui a été prétendu, Debenja est devenu régent.
12 jours plus tard exactement, le 1° juin, nous prenions le départ pour l'Anjou...12 jours pour s'organiser, faire appel aux comtois dans leurs villages, récupérer assez de nourriture pour pouvoir contourner les villages sans jamais y entrer, prévoir un itinéraire, essayer d'éviter les armées françaises, prévoir une stratégie...12 jours.

Il eut été préférable sans doute que cette préparation soit tenue secrète le plus longtemps possible...Mais le conseil déchu n'a eu de cesse de l'évoquer sur la place publique, et on ne m'enlèvera pas de l'idée que le premier combat contre l'armée du Maine est la conséquence des bavardages et de l'inquisition menée en sous-main par quelques comtois haineux et avides de revanche. Une fausse lettre attribuée au comte Debenja a coûté les blessures de 9 valeureux comtois, dont 6 ne sont toujours pas remis à l'heure où j'écris ces lignes.

L'élection d'Erine de Sparte, 12 jours après notre départ, confirmera hélas ce que nous savions tous. Ce que le Régent Debenja avait encouragé, elle le condamnait sans appel.

Aucun conseiller de la régence ne s'est donné la peine de faire parvenir le moindre message d'encouragement aux comtois partis pour une cause noble.
Aucun conseiller ne s'est enquis de la santé des blessés

Les encouragements sont venus d'ailleurs...De certaines provinces du royaume de France, qui à défaut de nous prêter main forte, ont compris notre démarche et ont fermé les yeux au passage de nos armées sur leurs terres.
Toute ma gratitude va à la Bourgogne, au Berry, à la Touraine, et à leur peuple. Nous ne l'oublierons pas.


L'alliance des impériaux...C'est ainsi que le duc d'Anjou qualifiait notre troupe...Il n'était pas très regardant sur les origines des compagnons, ou peu au fait de la géographie politique...
Tous ces guerriers ont combattu contre le brigand angevin. Longtemps tenus cachés, leurs noms figureront sans doute dans les listes d'ennemis de toutes les armées d'Empire, de France et de Navarre...Je me dois pourtant de les citer tous. Pour le respect que nous leur devons


La Compagnie de l'Edelweiss

- Cameliane (gouverneur)
- Crabzut
- Rudolf
- Offspringmic
- Ntil_
- Legolas
- Emeric_de_bourgogne
- Lanfeust41
- Bernardo
- Yoyo
- Christophe
- Morille
- Lionelpsl
- Mirialia

La compagnie Maxima Sequanorum

- Lothilde (gouverneur)
- Zephirin (sénéchal)
- Adrien72 (gouverneur en second)
- Greenwarrior (porte-drapeau)
- macricri
- Derdekan
- Epsonstylus
- Jasona,
- Bensira,
- Jennlastar,
- Makita
- Danytr
- Kermaud de Rosmadec
- Skizo133
- Wiloose
- Brieucdeguérande
- Imladris
- Djphilou
- Gundard
- Sire-Binou
- Spikelilou
- Jeangui
- Magnusvonwolf
- McAneyth
- Lassa
- Chnodomar

La compagnie des Sans Braie de Luxeuil

- Osadus (chef de camp)
- Mael_du_haillon
- Derborence
- Lejuanais
- Khalanelder
- Mousseline

Les Dragons
- M.e.r.o.v.e.e (chef)
- Fred64
- Kitry
- Dameyseult
- Xavier0690
- Anja
- Deskil
- Bourrinus
- Clarence
- Achra
- Korigan

Les Indépendants
- Arnaud_Giboint
- Cdent
- Assirian
- Gaelben
- Arfée
- Sensuline
- Mathieu__l
- Lilibellule
- Kassiopée

et l'intendance qui arrive en renfort..

- Valaraukar
- Ahainepeheux

Ces 66 compagnons se sont engagés librement, pour défendre leur honneur à défaut de remplir leur bas de laine.
Tous ont combattu bravement et loyalement le brigand de Penthièvre, sans quémander quoi que ce soit.
La solidarité entre tous a permis à chacun de manger tous les jours...ou presque.

La générosité de quelques comtois a permis la création, l'entretien de l'armée Maxima, et une partie de la nourriture distribuée aux compagnons lors du long voyage vers l'Anjou. Qu'ils soient ici remerciés :

Messire Heylias, notable de Dole
Le gouverneur Pendarric, pour la fourniture bénévole de points d'armées
La comtesse Lysiane d'Omerach
La comtesse Macricri Adams de Melincour
Le comte Valaraukar
Le vicomte Sacrai d'Eirbal
Le Vicomte McAneyth
La Vicomtesse Lothilde

Le parlement de Franche-Comté, par l'entremise du comte Debenja lors de sa Régence, a consenti à une avance de 100 miches de pain pour l'effort de guerre. Nous ne manquerons pas de tenir parole et de les rembourser aussitôt que possible.


Dernière édition par lothilde le Mer 17 Nov - 3:23, édité 2 fois
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Message par lothilde Dim 11 Juil - 19:09

Le voyage jusqu'en Anjou...

12 jours...sans jamais entrer dans aucune ville ni aucun village...Du moins, c'était notre plan initial...Nous en avons évidemment changé, aussi discrètement que possible...

Nous avions décidé de forcer les frontières sans demander les autorisations de passage que nous n'aurions jamais obtenues...Alors il fallait se faire discrets et prier chaque jour Aristote qu'aucune mauvaise rencontre ne nous oblige malgré nous à tirer nos épées des fourreaux. C'était un risque, on le savait tous...Mais les bavardages avaient déjà bien assez alerté le duc d'Anjou pour lui permettre de se préparer à nous recevoir sans qu'en plus il puisse nous suivre à la trace avec des parchemins officiels qui, on le sait, circulent sous les manteaux crasseux des traitres de toutes origines, y compris...comtoises.

Des rencontres, nous en avons faites, pourtant, et pas des moindres...Les derniers coteaux de Bourgogne étaient à peine franchis que la première armée du Berry a eu la bonne idée de venir établir son campement exactement où nous avions installé le nôtre...Rencontre pacifique...Nous n'avons pas partagé les mêmes écuelles, il ne faut rien exagérer non plus...Et le chef d'armée a immédiatement envoyé un messager pour prévenir le duc de notre présence...Il est revenu avec un parchemin dans lequel il disait son mécontentement, ce que nous avons fort bien compris...Et après avoir sacrifié à la politesse élémentaire en lui renvoyant une missive d'excuses et promesses d'aides en retour le cas échéant, nous avons bien vite déguerpi.
La Touraine à son tour nous a fait quelques frayeurs...Personne n'ignore l'immense qualité de ses chefs de guerre, dont un que je connaissais de la croisade de Genève, et que nous avons eu...la chance de croiser aussi. Chance aussi que le duc de Touraine n'exige pas de lui qu'il nous attaque, mais comme le duc du Berry, nous demande d'être discrets et de déguerpir aussi rapidement que possible, sans toutefois jamais nous trahir...

Pour des raisons d'intendances, nous devions atteindre la première ville angevine aussi rapidement que possible. Saumur...Mais arrivés à la frontière, force était de constater que nous étions attendus par des bataillons en lignes serrées et qu'aller à leur rencontre gentiment était leur offrir le cadeau de nous massacrer tous.. et probablement nous renvoyer plus vite que prévu d'où nous venions...Les informateurs faisaient état de deux armées bien remplies à Angers...et d'une autre à Saumur, prête à faire le ménage dans nos rangs...Il fallait disperser ce beau monde...Attendre et exaspérer l'adversaire, nous ne pouvions nous le permettre, nous commencions tous à souffrir de la faim. Il fallait s'arrêter dès que possible. Il a été décidé que les compagnons quitteraient les armées par petits groupes et se rendraient dans les différentes villes de Touraine pour y travailler un peu et se ravitailler, pendant que les armées resteraient sur un noeud en attendant. Et qu'on passerait par le Maine, au nord, pour aller menacer La Flèche pendant que les angevins se pressaient autour de leur capitale....Et surtout y arriver avant eux.

Rendez-vous fut donné à chacun sur le noeud situé au sud du Mans, le 17 juin, où Caméliane et moi serions également présentes avec les oriflammes des armées...Une fois tous réunis, nous franchirions la frontière d'Anjou, et remettrions nos armées en concentration avec un plan d'intégration prêt à être exécuté dès que nous serions aux pieds des murailles de la Flèche....
C'est ce que nous avons fait....En dépit d'une attaque totalement imprévisible : Alors que tous étaient en chemin vers le rendez-vous, la fameuse lettre écrite soi-disant par le régent Debenja prétextant que des armées comtoises allaient attaquer le mans a circulé sur les places publiques...On aurait cherché à nous nuire qu'on ne s'y serait pas pris autrement. Nous ne saurons jamais avec certitude le nom du misérable qui en est l'auteur, même si quelques uns ont circulé..Une comtoise, ou un prélat, avait été assez méprisable pour assouvir une soif de vengeance personnelle en faisant attaquer une quarantaine de comtois qui n'avaient pas l'ombre d'une mauvaise intention vis à vis des mainois et pour cause...ils étaient pour certains des alliés contre le duc d'Anjou....


Au cours de cette nuit du 17 au 18 juin, la 1ere armée mainoise" dirigée par Simlegrand attaquait tous ceux qu'elle arrivait à discerner dans l'obscurité...Au matin, sur le noeud au sud du Mans où heureusement la majorité des hommes avaient pu arriver en passant à travers les mailles du filet tendu par la duchesse du Maine, 7 compagnons de Maxima manquaient...Imladris , Zephirin , Djphilou , Khalanelder, Wiloose, Brieucdeguerande, et Epsonstylus ne franchiraient jamais la frontière de l'Anjou....Et dans la compagnie de l'Edelweiss....5 hommes subiront le même sort...Crabzut, Rudolf, Offspringmic , Ntil_, Legolas....Comble de l'ironie, ce sera l'attaque la plus meurtrière. Aucun combat en Anjou n'atteindra ce score de blessés laissés pour morts...Jusqu'à l'ultime trahison d'Aurélien de Penthièvre lors de notre retrait à la fin des hostilités....

Persiste et signe au même endroit la nuit suivante, du 18 au 19 juin....Macricri avait servi de leurre en se pavanant à Chinon pour laisser croire à une avant garde des armées vers Saumur, et avait donc un jour de retard sur les troupes qu'elle venait rejoindre au sud du Mans. Et comme nos hommes la veille, sa lance affronte cette même armée, pourtant prévenue des incidents de la veille et informée du démenti concernant les intentions de nos armées...Si elle a été blesse à peine lors de cet affront, Macricri arrivera tout de même à désarmer le chef, Simlegrand, et le blesser assez pour qu'il soit immobilisé pendant 45 jours...Mais Jennlastar, elle non plus, ne verra pas l'Anjou. Gundard, indemne, pour une fois (c'est assez rare pour être remarqué, car il est régulièrement blessé lors des premiers combats) se retrouve tout seul au croisement d'un chemin perdu entre Montmirail et Le Mans.
Il se débrouillera comme un chef pour venir nous retrouver, intact ! et le restera d'ailleurs jusqu'à la fin des assauts, créant la surprise pour ses progrès à l'épée ! Macricri rejoindra elle aussi la Flèche deux jours plus tard...
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Message par lothilde Dim 11 Juil - 19:10

La Flèche, Anjou...

On y était...Meurtris pas l'agression sauvage des nôtres, mais fiers d'avoir atteint cet objectif qui nous avait guidés depuis que nous avions franchi le pont-levis de Dole...On y était, et surtout....on y était les premiers ! Aucune armée ennemie n'occupait les terres autour de la ville et nous prenions conscience avec une profonde satisfaction que nous avions une chance inespérée : Le Penthièvre n'avait pas prévu un comité d'accueil sous forme d'une armée cachée sous les remparts contre laquelle nous aurions pu perdre tout bénéfice....
Tout au plus discernions-nous au-dessus des murailles l'étendard d'une armée angevine dont on ne savait rien...Combien de guerriers s'y entraînaient, combien de défenseurs étaient en charge des portes, quelle était la position du bourgmestre, rien, rien..et nous n'avions pas non plus arrêté de décision ferme sur ce que nous allions faire...Il suffisait d'une nuit pour le savoir : si l'armée quittait les remparts, c'est qu'elle était de taille à pouvoir nous mater et nous devrions nous battre...Sinon, sentant le danger pour une ville angevine, nous allions attirer au moins une armée en défense à Angers, mais elle ne pourrait pas être sur nous avant le lendemain, et...elle aussi, perdrait le bénéfice des armées défensives...Nous pouvions nous permettre une bonne nuit de repos, après les cérémonies de réintégration dans les armées, et les remises en ordre de marche...Nous étions prêts à accueillir les attaques....La sagesse dictait de ne rien faire et de garder notre position, c'est ce que nous avons fait...


Premier combat...nuit du 19 au 20 juin 1458
Et ce que nous avions prévu s'est réalisé...Ce n'est pas une armée mais deux qui sont arrivées le lendemain, désertant Angers à notre grand amusement..Et à notre grand regret que le parlement comtois n'ait pas compris qu'en s'opposant, il avait perdu une occasion de s'en emparer...pendant que nous faisions diversion... Tant pis...
"Les Aigles de Thouars" dirigée par Melinora et l'armée "Vae Victis" dirigée par 197856 ont ouvert le combat, mais nous n'avons pas faibli. Des indépendants mainois et les fiers Dragons conduits par Mérovée étaient venus dans l'après-midi grossir les troupes...Il nous restait à prier Aristote et ferrailler comme des forcenés....
Cette attaque fut brève, et rude. De nouveaux blessés ont été évacués dans les tentes de l'infirmerie...mais au matin, le soleil s'est levé sur la déroute des deux armée du duc d'Anjou...qui retraitaient sur Angers...Première volée de bois vert pour Aurélien de Penthièvre, nous avions maintenu notre position, et l'armée dans les murs n'avait pas bougé...Confirmant la faiblesse que nous n'avions fait que supposer...
La victoire fut saluée avec joie et la fête aurait été totale si la générale Caméliane, terriblement blessée, n'avait vu son oriflamme détruit, aucun porte-drapeau n'ayant pu le reprendre...Il restait celui de Maxima, et il fallait que les rescapés le rejoignent au plus vite...Ils reviendraient, de ça au moins, on pouvait être assurés...


Deuxième assaut...nuit du 21 au 22 juin 1458
Ils sont revenus...le lendemain. Tout au plus, comme nous d'ailleurs, ils ne pouvaient avoir fait entrer que deux nouveaux guerriers pour remplacer leurs blessés du 20...Nous devions selon toutes probabilités nous retrouver dans la même situation que lors du premier combat, avec toujours la même incertitude au sujet de cette armée dans l'enceinte, qui visiblement ne recrutait aucun soldat...Une ruse...? Nous n'avions de toutes façons aucune autre solution de répondre aux attaques par l'attaque
Et une fois de plus, les deux armées à la solde d'Aurélien ont du reculer...Je n'ai eu que le temps de les voir quitter le champ de bataille et tendre l'oriflamme de Maxima à Adrien72 ....Terrassée par deux molosses en armures, je ne pourrais plus le brandir, ni même sortir la moindre dague de son fourreau. A lui de prendre la relève !
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